Non-violence.org

jeudi 13 novembre 2003

Voici un nouveau site en lien avec le nôtre à deux titres : la non-violence bien-sûr, mais aussi le fait qu’il a un spip dans son moteur !

Plein de richesses à découvrir dans sa charte : peut-être une piste de réflexion pour construire la nôtre.

Qu’en dites vous ?

FORMATION en médiation et CNV. Le 2 mars 2005, par benketira CURSUS DE MEDIATION

bonjour ,je suis intéressée pars votre cursus de formation en médiation je suis medecin de santé scolaire excercant en Algerie ma question est la suivante y’a-t-il un programme pour les resortissant étrangers,et qu’elles sont les conditions et les lieux de formations ?

MERCI

> Définir ensemble la non-violence sur wikipedia.org Le 29 octobre 2004

Peux etre veux tu dire :" definir la communication non violente" plutot que la notion de non violence ?

> Définir ensemble la non-violence sur wikipedia.org Le 7 février 2005, par Dieudonné Dard

En effet !

cela dit il y a aussi une page pour la non-violence ;)

— Dieudonné

> Les pages d’accueil de la Communication Non Violente en Europe Le 22 janvier 2004, par Pierre-Marie LAMIELLE

Je voudrai y ajouter :

http://www.nvc-europe.net/

site créé à la suite de l’IIT de Juillet 03 pour l’organisation d’un réseau européen de la CNV

A propos d’éducation et d’oser écrire... Le 10 janvier 2004, par elise.busser@wanadoo.fr

Moi aussi, je me suis sentie avec un énorme besoin d’écrire, à propos d’éducation entre autres sujets qui m’intéressent...

Grâce à tout ce que j’ai appris en stages de CNV (sur moi-même avant tout !), j’ai osé...

J’ai osé participer au débat national sur l’école proposé par notre ministre Ferry.

J’ai osé dire combien il me semble important de reconnaître l’individu dans ce qu’il a de plus vivant (ses émotions, ses sentiments, ses besoins, ...) à chaque instant, lorsqu’il apprend ou lorsqu’il enseigne...

Est-on toujours certain, d’ailleurs, de pouvoir déterminer à coup sûr, dans un couple enseignant-enseigné lequel apprend le plus à l’autre et lequel apprend le plus de l’autre ?...

J’ai osé...

Et j’ai constaté que ma colère bouillonnante, montée lors d’un débat public dans ma commune, s’est transformée en joie d’avoir participé, d’avoir apporté une contribution si modeste soit-elle...

Merci à tous ceux qui font que la pratique de la CNV est possible. Et ce site est la preuve concrète de leur créativité et de leur enthousiasme. C’est magnifique !

Elise

> A propos d’éducation, d’oser écrire... et de sagesse (...) Le 11 janvier 2004, par Dieudonné Dard Wikipedia

Bonjour Elise, François, et chers visiteurs,

imaginez que je suis à Canton (oui oui, là où ils ont inventé le riz cantonnais ;) au moment où je découvre ce témoignage d’Elise !

Et bien j’ai envie à mon tour de vous témoigner de la joie que c’est pour moi d’avoir pu contribuer à ce que des échanges de ce genre puissent avoir lieu. Cela fait quelques 15 années que je voyage autour de notre planète - grâce à mon métier - et c’est un peu un rêve d’enfant qui se réalise à travers ce site. Vers 12 ans, je rêvais d’aller à la rencontre du plus grand dénominateur commun de la sagesse des peuples à travers le monde. Et aujourd’hui, grâce aux relations humaines que je redécouvre au travers de la CNV, j’ai le sentiment de toucher à cette sagesse universelle qui nous anime. Celle que nous partageons avec les peuples reconnus commes les plus civilisés aussi bien qu’avec les peuples dits “primitifs”.

Depuis peu ce site permet de simplifier la traduction de chaque publication en plus de langues que je n’en connaissais l’existence (plus de 140 langues !), et cela me permet de prolonger ce rêve de partage de sagesse, et ainsi de répondre à des besoins de lien et de sens. Cela renforce chez moi ce que j’aime bien appeler la confiance dans l’intelligence de la vie.

Je commençais à me sentir un peu seul sur ce site que j’imaginais pouvoir porter plus de partages, mais vos témoignages, François et Elise, m’ont touché droit au coeur, et me renforcent dans mon goût de donner le meilleur de moi à ce que ce site puisse aider au développement de la CNV, cette sagesse universelle.

Dieudonné

PS ci-dessous une autre invention au service du partage de la sagesse universelle

> A propos d’éducation et d’oser écrire... Le 2 juin 2004

merci à vous, Elise, de témoigner comme vous le faites de votre évolution grâce à la CNV. Je vous lis avec grand intérêt, étant en butte en ce moment, à des questions d’ordre médicales qui m’amènent à remettre en cause des années de cheminement personnel de construction de santé par des moyens dits "doux" ou "parallèles". L’enjeu ne me concerne pas directement, mais ma plus jeune fille, qui vient de fêter ses dix-huit ans...aux urgences, en "psy". Autant dire que l’urgence d’une solution est encore plus importante dans ces circonstances que s’il s’était agi de ma propre personne. J’ai donc du mal à établir une relation saine avec le psychiatre qui la soigne, sans laquelle il ne pourra lui permettre de quitter l’hopital. Aussi quand je vous lis disant :"ma colère bouillonnante, montée lors d’un débat public dans ma commune, s’est transformée en joie d’avoir participé, d’avoir apporté une contribution, si modeste soit-elle..." je dresse l’oreille et me demande par quel moyen vous êtes parvenue à ce changement. Pour moi, ayant la décence de taire ma "colère" (conséquente au fait que je ne puis exprimer mes questions, mes inquiétudes et leur fondement, ni ma révolte à ne pas recevoir d’explications et à perturber le service si j’ose poser une question...), je n’ai d’autre ressource que d’écouter (qaund j’en ai toutefois l’occasion) et me taire. Mais mes dissensions se sentent, ma fille les absorbe et les exprime à son tour, d’une manière ou d’une autre, par son comportement ou ses paroles...et les choses n’avancent pas, piétinant dangereusement pour Jeanne (c’est le nom de ma fille), à la case départ. Comment faire ? Votre colère se manifestait-elle dans des circonstances antérieures à l’expérience de joie ressentie lors d’un débat abouti grâce à votre capacité de CNV ? Ou bien est-ce lors du même débat que vous êtes passée successivement de l’expression de la colère à la manifestation de joie d’une communication féconde ? Je ne comprends pas bien ce que vous voulez dire. Le retournement d’un état à l’autre ne me parait pas évident du tout. Pour moi, l’expression de la colère ruine toute chance d’échange ultérieur. Pouvez-vos m’éclairer sur ce point ? Pouvez-vous aussi me dire ce qui dans l’approche de la communication non-violente permet de réussir une réduction de conflit ? Merci beaucoup de votre lecture et j’espère de votre réponse. Laurence Benoit.